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1.
Fundamental and Clinical Pharmacology ; 36:84-85, 2022.
Artículo en Inglés | EMBASE | ID: covidwho-1968113

RESUMEN

Introduction: During the first wave of Covid-19, various treatments have been tested off label, including HCQ, despite its significant adverse effects and the absence of proof of effectiveness against this virus. A recent meta-analysis showed an increase of mortality rate related to HCQ use. We aimed to estimate the number of deaths caused by HCQ worldwide. Material and methods: The HCQ exposure according to countries was estimated from meta-analysis using published cohorts (Pubmed) identified thanks to a systematic review. We retrieved the mortality rate of HCQ from meta-analysis of randomized trials (MetaEvidence tool) as well as the number of hospitalized patients in the selected countries between the beginning of the pandemic and mid-July 2020 using various online databases. Results: The included studies were conducted in Turkey (k = 3), Brazil (k = 1), Belgium (k = 1), France (k = 2), United Kingdom (k = 1), Spain (k = 10), Italy (k = 13), and United States of America (k = 19). The prescription HCQ rates vary greatly from one country to another (median 52%, range 6-97). The number of hospitalisations related to the first wave of COVID-19 ranged from 3,082 (Brazil) to 888,037 (USA). In Belgium, HCQ induced 151 deaths. In Turkey, the median was 111 HCQ-induced deaths (range 109-150). In France, the HCQ-related deaths varied between 98 and 256. In Italy and Spain, the medians of HCQ-induced deaths were, respectively, 1,549 (range 996-1,758) and 1,435 (range 760-1,704). In UK, HCQ induced 415 deaths. The highest number of HCQ-induced deaths is found in the USA with a median of 5645 (range 1,194-9,059). Overall, using median estimates, HCQ totalized 9564 deaths in countries with available data. Discussion/Conclusion: HCQ was associated with at least 9,564 deaths during first wave of COVID-19 pandemic. These results were underestimated in regards of lacking data in mostly countries. These findings illustrate the risk of drug repurposing from chronic diseases to deadly conditions, with a low-level evidence.

2.
Revue de Médecine Interne ; 43:A117-A118, 2022.
Artículo en Francés | Academic Search Complete | ID: covidwho-1900151

RESUMEN

Le syndrome de fuite capillaire idiopathique (SFCI) ou maladie de Clarkson est une pathologie rare définie par la récurrence d'épisodes de fuite capillaire en présence d'une gammapathie monoclonale. Elle entre dans le cadre des gammapathies monoclonales de signification clinique. Le tableau caractéristique est celui d'un choc hypovolémique marqué par une forte hémoconcentration avec une hypoprotidémie paradoxale. La physiopathologie est inconnue et le traitement préventif des récidives repose sur l'administration au long cours d'immunoglobulines intraveineuses (IgIV). La tolérance de ce traitement chronique est souvent difficile et son coût est élevé. La possibilité, les modalités et les risques d'une décroissance voire d'un arrêt des IgIV sont inconnus. Cette étude avait pour but d'évaluer la sécurité de la décroissance et/ou de l'arrêt des IgIV au cours de la maladie de Clarkson. Nous avons conduit une étude multicentrique rétrospective incluant les patients du registre EurêClark atteint d'un SFCI défini (avec une gammapathie monoclonale), ayant reçu au moins une perfusion d'IgIV. Les crises étaient recensées dès lors qu'elles indiquaient une hospitalisation, et étaient considérées comme graves en cas d'admission en soins critiques. Le critère de jugement principal était la proportion de patients décédés en fin de suivi. Le principal critère de jugement secondaire était l'incidence annuelle des crises, analysée selon un modèle mixte pour prendre en compte le caractère éventuellement répété des crises chez un même patient, en comparant les différentes périodes de traitement selon la dose reçue d'IgIV (≥2 g/kg/mois, 1–2 g/kg/mois, <1 g/kg/mois et pas d'IgIV). L'arrêt des IgIV était défini comme un arrêt de 4 mois au moins une fois au cours du suivi. Cinquante-sept patients ont été inclus, d'âge moyen 60 ± 13 ans dont 47 % de femmes. La gammapathie monoclonale, toujours une immunoglobuline G, était de type : kappa 68 %, lambda 28 % et bi-clonale 2 % des cas. Le suivi médian [IQR 25–75] était de 9 [5–14] ans. Après l'instauration d'IgIV, 36 (63 %) patients ont présenté au moins une rechute. En fin de suivi, 18 (31 %) patients étaient décédés dont 14 (78 %) en raison d'une récidive. La proportion de patients décédés en fin de suivi était plus élevée chez les malades ayant arrêté les perfusions d'IgIV (groupe arrêt : A) en comparaison avec ceux ayant poursuivi les perfusions de façon continue (groupe poursuite : P, 63 % vs. 15 %, p < 0,001). Les probabilités cumulées de survie à 10 ans estimées selon la méthode de Kaplan Meier et comparées par un test de Log-Rank entre les groupes A et P étaient de 50 % vs. 83 % (p = 0,02). Le taux de récidive et le nombre médian de récidive entre les patients des groupes A et P étaient de 72 % et 59 % (p = 0,3) et 1,0 et 2,5 (p = 0,03). Les taux de récidive, le nombre médian de crises et la mortalité n'étaient statistiquement pas différents entre les patients ayant eu une décroissance des IgIV (qu'elle qu'en soit la modalité, n = 39) et ceux toujours restés à 2 g/kg/mois (n = 18). Les résultats du modèle mixte ne montraient pas de relation significative entre la dose d'IgIV et l'incidence des crises, avec des coefficients de régression bêta de -0,06 ;0,0 et 0,47 pour les doses comprises entre 1-2 g/kg, <1 g/kg et arrêt des IgIV respectivement comparées à la dose ≥2 g/kg (p = 0,3). Enfin, parmi les 37 patients encore en vie en janvier 2020, la survenue d'une infection COVID était significativement associée à la mortalité60 % vs 3 %, p = 0,005). L'interruption des perfusion d'IgIV est associée à un nombre plus important de crises et à une surmortalité chez les patients avec une maladie de Clarkson. Le traitement par IgIV ne doit pas être arrêté. La décroissance n'était pas significativement associée à ces risques, et semble pouvoir être envisagée avec prudence, ce d'autant que la COVID-19 est associée à un risque important de récidive et de décès (French) [ FROM AUTHOR] Copyright of Revue de Médecine Interne is the property of Elsevier B.V. and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full . (Copyright applies to all s.)

3.
Revue de Médecine Interne ; 43:A115-A116, 2022.
Artículo en Francés | Academic Search Complete | ID: covidwho-1900150

RESUMEN

L'évolution du diagnostic et des traitements des pathologies immunologiques ou inflammatoires de médecine interne, a permis d'évoluer vers une prise en charge des malades majoritairement ambulatoire. Les unités d'hospitalisation complète de médecine interne des centres hospitaliers généraux et universitaires accueillent des patients principalement dans un cadre non programmé en provenance des services d'urgence ou de la médecine de ville. La variété de diagnostics est très importante. Ce travail analyse l'évolution des caractéristiques démographiques et cliniques des patients en hospitalisation complète des unités de médecine interne et pathologies vasculaires du Groupement Hospitalier Sud (Hospices Civils de Lyon) entre 2010 et 2019, période stable sur le plan de la configuration hospitalière et précédent la pandémie COVID. Analyse des Résumés d'unité médicale (RUM) d'hospitalisation conventionnelle de 44 lits du centre de responsabilité (CR) de médecine interne et pathologies vasculaires en 2010 et 2019 au Groupement Hospitalier Sud, Hospices Civils de Lyon. La cohorte est décrite en stratifiant l'analyse sur le niveau de sévérité (score « Charlson + âge ») et un score de polypathologie. Une exploration de l'évolution de la durée moyenne de séjour (DMS) ainsi qu'une visualisation de la distribution d'âge par année ont été effectuées, stratifiées par niveau de sévérité. 1626 RUM ont été analysé en 2010 et 1788 en 2019. L'âge médian des patients est de 66 ans en 2010 et 69 en 2019. La DMS est passé de 9 à 8,2 jours. Pour autant la proportion de patients avec un score de poly-pathologie supérieur à 3 est passée de 55 % à 63 % ;la proportion de patients avec un score de « Charlson + âge » supérieur à 10 est passée de 2,9 % à 6,2 %. Le nombre de transfert en réanimation et le taux de décès restent faibles et stables au cours du temps, tous deux d'environ 1,5 %. Les dix familles de diagnostic principal les plus fréquents en 2010 et 2019 ne représentent que 21 et 27 % des séjours, témoignant de la grande diversité des diagnostics. Les quatre familles de diagnostic principal les plus fréquentes en 2010 et 2019 sont : pneumopathie bactérienne, insuffisance cardiaque, maladie vieneuse thromboembolique et anémie par carence en fer. Notre analyse d'activité confirme le recrutement très polyvalent de la médecine interne y compris en CHU, les dix principales familles de diagnostic représentant seulement un quart de l'ensemble. Sous réserve d'une analyse réalisée uniquement à partir des codages PMSI, la proportion de patients avec un score élevé de « polypathologie » ou avec un haut score de « Charlson + âge » augmente au cours du temps, sans augmentation de la DMS. Cette évolution d'activité observée confirme la place essentielle de la médecine interne dans le système hospitalier, et son adaptabilité à l'évolution polypathologique et aux comorbidités chroniques observées dans la population. Il montre aussi l'importance d'en renforcer les ressources. (French) [ FROM AUTHOR] Copyright of Revue de Médecine Interne is the property of Elsevier B.V. and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full . (Copyright applies to all s.)

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